De la joie

J’ai amené avec moi les séquelles de plusieurs traumas crâniens, sans compter un genu varum et une dysplasie à gauche, je ne croyais plus qu’on puisse faire quelque chose pour me soulager. Mon cerveau ne fonctionnait plus correctement, ni le système nerveux et je perdais régulièrement l’odorat le gout et l’ouïe. Alors vous imaginez aisément la joie qui fut la mienne de retrouver la rectitude, le soulagement physique des névralgies, tous mes sens et la redécouverte d’une douce vie parce que ce type de douleurs m’avait endurci considérablement .Cela est la part la plus manifeste du soin mais aude là , il y a aussi la récupération d’autres potentiels que je n’ose qualifier par manque de connaissance du sujet, mais avant je vivais à côté de mes pompes, maintenant grâce à Aymeric , je les ai chaussée et c’est drôlement plus efficace à tous les niveaux. Alors je rends grâce à ceux qui s’engagent dans une telle voie thérapeutique qui fait tant de Mère Veille.